Les erreurs courantes des étudiants en santé à éviter absolument

étudiants santé

Vous qui étiez un lycéen brillant, vous venez d’obtenir votre baccalauréat. Et c’est tout à fait logiquement que vous allez intégrer un cursus PASS ou LAS dans quelques mois. Confiant et serein, vous vous apprêtez donc à faire votre entrée à l’université dans le but d’intégrer une filière MMOPK. Cependant, attention à l’excès de confiance ! Car certaines erreurs courantes des étudiants en santé continuent d’être commises année après année. Touchant même les meilleurs, elles sont à éviter absolument !

Manquer la transition entre le lycée et l’université

Première erreur classique, manquer la transition entre le lycée et l’université. Et prendre un retard qui ne sera jamais rattrapé. En effet, les qualités qui font le bon lycéen et celles qui favorisent la réussite des étudiants en santé ne sont pas forcément les mêmes !

Dès le mois de septembre, il vous sera demandé d’incorporer de nouvelles compétences :

  • Le sens des responsabilités : vous devrez apprendre à organiser vous-même votre temps libre ;
  • Le recul critique sur votre production : à la différence du lycée, où les enseignants vous délivraient de nombreux feedbacks, vous serez désormais le seul juge de vos progrès. Du moins, jusqu’aux examens ;
  • L’autonomie : pour trouver des réponses ou des précisions, il vous faudra fournir vos propres recherches documentaires.

Or, une adaptation rapide n’est jamais aisée. C’est pourquoi il peut être judicieux de trouver des appuis. En Franche-Comté, un organisme comme Bersot Formation propose aux étudiants en santé d’intégrer une Prépa médecine Besançon, afin d’acquérir plus rapidement ces nombreux savoir-faire. Depuis 1991, il accompagne les futurs pharmaciens, kinés ou sages-femmes dans le succès de leurs projets.

Penser que les étudiants en santé peuvent réussir seuls

D’ailleurs, investir une Prépa PASS ou une Prépa LAS permet aussi d’éviter une autre erreur courante des étudiants en santé. On a coutume de se représenter les concours d’accès aux filières MMOPK comme des univers très compétitifs, où le travail solitaire est le maître-mot. C’est à la fois vrai… Et complètement faux !

Soyons clairs : il n’y a pas un étudiant en santé qui parvient à accéder en 2ème année de médecine ou de maïeutique en prenant la voie de la solitude. Au contraire, le mois de septembre doit être consacré à la création d’un environnement propice à la réussite.

  • Une Prépa Santé comme Bersot Formation permet de rencontrer d’autres étudiants motivés, tout en bénéficiant du soutien d’intervenants bienveillants et d’une solide préparation aux épreuves écrites et orales ;
  • Un groupe de travail fiable peut aussi être constitué, en recrutant des étudiants de PASS ou de LAS qui appartiennent aux plus sérieux.
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Négliger le cadre de vie

Enfin, un étudiant en santé doit prendre soin de son cadre de vie. A l’université, la réussite passe aussi par un investissement dans un certain nombre de domaines insoupçonnés :

  • Le sommeil : durant toute l’année, et pas seulement dans les semaines qui précèdent les examens, limitez les sorties tardives ou arrosées. Au maximum, autorisez-vous un écart par mois ;
  • Le sport : une ou deux séances de sport hebdomadaires permettent de se vider la tête et de se sentir mieux dans son corps. Le sport favorise aussi le travail de la mémoire ;
  • Le repos de l’esprit : il faut trouver un équilibre avec la charge de travail importante réclamée dans l’année. Imposez-vous une demi-journée de repos total dans la semaine pour recharger vos batteries. Deux, si possible.

Enfin, trouvez un hobby si ce n’est pas déjà fait ! Il est bien utile de se changer les idées par moment, même quand on est seul. Cela évite parfois de craquer sous la pression, en fournissant une zone de repli confortable et salvatrice.